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15 mai 2015 5 15 /05 /mai /2015 02:46

Ma passion, les petits oiseaux.

 

Toute jeune, nous avions des perruches ondulées à la maison. Quelle beauté de regarder ces merveilles de toutes les couleurs. Leurs parents, avec tant d’ardeur et de travail, nourrissaient ces petits pas trop beaux, au début, mais qui tranquillement embellissaient et prenaient leur envol. La famille a grandi, il y en avait environ soixante-quinze. J’ai eu le droit de leur bâtir une volière, si grande que je pouvais y rentrer. Quelle sensation de voir ces merveilles jouer et venir se poser sur moi : le vent de leurs ailes était comme leur façon de me dire bonjour. Ma responsabilité, que j’accomplissais avec plaisir, était de tenir cet endroit propre. Graduellement, ils sont devenus de plus en plus sociables avec moi.

 

        Un jour, il a fallu déménager, on en a donné et vendu plusieurs : il nous  en restait environ une quinzaine. J’ai gardé les plus dociles dans des cages, en évitant la reproduction. Ensuite, vint le mariage et les enfants : un autre plaisir de la vie. J’ai découvert, chez des amis, le canari.  Je fus surprise par son gonflement de gorge et toutes les mélodies qui peuvent sortir d’un si petit oiseau, qui ne demande d’autre entretien que le plaisir d’écouter son chant. Je me suis rendue compte qu’il existe plusieurs variétés. Je m’en suis procuré un avec une huppe, qui me faisait penser à un petit chapeau. Sa petite calotte lui donnait une drôle d’allure si mignon, mais avec l’âge il chantait de moins en moins.  Il était très difficile d’en trouver un autre de la même variété. J’ai décidé d’en faire la reproduction, mais j’ai trouvé cela plus difficile que pour la perruche. Après cinq années d’expérience, j’ai maintenant plus de variétés, en ajoutant entre autre le roller allemand. Je ne me lasse jamais de les entendre, de les observer et de les faire découvrir aux gens par leur beauté et leur chant.

 

         Par la suite, pour faire plaisir à mes parents qui avaient malheureusement perdu leur perruche callopsitte (Cockatiel). J’ai commencé à magasiner pour eux. Encore une découverte sur tout ce que cet oiseau peut nous faire découvrir avec sa tenue et sahuppe. Mon premier cockatiel s’appelle COCO. Jeune perlé de 4 mois avec une grande générosité d’amour. Il a appris, avec la patience, à parler et à chanter. Quand il est content, il donne son spectacle au complet.

 

         Un jour, quelqu’un m’a dit : « Tu as du talent avec les oiseaux, tu les comprends et tu as le tour avec eux ». Il m’avait aussi mentionné que son cockatiel était méchant, qu’il mordait et qu’il n’en voulait plus.  Il me l’a donné avec sa cage.  « Quoi faire ? COCO va-t-il rester gentil?… deux cages, deux oiseaux »…COCO n’a pas changé. Ce sont des oiseaux qui aiment vivre en groupe et qui aiment la compagnie humaine. À son arrivée, Gino (celui qui était le nouveau ’’méchant’’) devait être manipulé avec un gant pour me protéger. Mais avec le temps, la patience et l’affection,  il est maintenant toujours prêt à venir me voir, il ne mord jamais et son vol est merveilleux.

 

Aujourd’hui, j’ai trente beaux Cockatiels, dont quinze couples qui font de très beaux bébés.

Les canaris (serin) : dix couples.

Les serins de Mozambique : deux couples/ très beaux chants.

Perruches ondulées : six couples.
Touis céleste: deux couples.

Mon amour pour les oiseaux a toujours été présent. Mon rêve est de pouvoir, un jour, créer une volière pour ces amours à plumes,

 

Ma volière 

 

 

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